Les Catarates
Une
expérience mémorable
Ce spectacle de la nature, considéré comme une des merveilles du monde, il a
commencé il y a quelque 200 mille ans dans l’emplacement que nous connaissons
aujourd’hui comme « point de repère des Trois Frontières », où
confluent la rivière Iguazú et le Paraná.
Une faille geológique produite dans la voie la du fleuve Paraná a fait que
l’embouchure du fleuve Iguazú soit convertie en une cascade abrupte de 80
mètres de hauteur.

Depuis ce
point, où les Catarates ont commencé, jusqu’à nos jours on trouve la
Gorge du Diable ils existent 23 kilomètres de distance, dû au recul lent
érosif, mais continue dans la positiion des Catarates.
Cette
grande cascade originale, s’est transformée en deux grands arcs sinueux de
2.700 mètres d’extension. En étant le
saut le plus imposant de l’ensemble, la Gorge du Diable, de 80 mètres de
hauteur, se trouve dans le cours principal du fleuve. Selon le fleuve, on peut
admiré entre 160 et 260 sauts, qui en termes moyens seraient quelque 1500
mètres cube d’eau par seconde.

La violence de la chute produit un brouillard permanent, dans lequel les rayons
solaires conforment multiples arc-en-ciel de beauté insurmontable.
Comment se
sont formés ?
Les sauts
Les catarates se trouvent à
quelque 22 Km de l’embouchure de la rivière Iguazú à Paraná. Dans la partie
supérieure aux sauts le fleuve forme des méandres de large variable, en
présentant en outre plusieurs petites îles. A partir de l’île San Agustín (de 1
kilomètre de longueur) le fleuve s’élargit à quelque 1.500 mètres pour la
plupart, en formant un vaste " U ", qui contient la grande faille qui
a lieu à un abrupte dénivelé et, par conséquent, les Catarates

Dans sa grande courbe, une
prolifération d’îlots élargies des îles fragmentent le fleuve en
nombreux bras. En arrivant au ravin,
chacun d’eux donne lieu à un saut, dont l’ensemble constitue le grand
éventail des " Cataratas del Iguazú".
Entre les sauts les plus
importants du côté Argentin se trouve le Alvar Nuñez, situé dans le circuit
inférieur du parcours du parc ; le Lanusse, aussi le circuit inférieur
mais plus bas que l’antérieur et le Dos Hermanas, Chico Alférez, Ramírez et
Bossetti tous dans le circuit supérieur du parcours avec une moyenne d’hauteur
qui va de 40 à 60 mètres.
Le
Saut Dos Hermanas dispose d'une piscine naturelle formé par l'action des eaux, de
quelque 8 Mètres de profondeur.
Le
Chico Alférez et le Bossetti se cassent en deux parties pour
élaborer un spectacle inoubliable,
tandis qu'une brise fraîche et humide rafraîchit les spectateurs sur les
passerelles.
Plus
haut on place le Saut Mbigua, Adán et Eva et San Martín, ce dernier est une
cascade rugissante et assourdissante qui nous merveille avec la force avec
laquelle s’accompli en cassant entre les
pierres pour former un second saut plus bas en terminant tout le spectacle à
plus de 70 mètres de profondeur tout sous une éternelle pluie fine où parfois ce forme un arc-en-ciel de contraste
exquis avec la scène.

Ensuite
un peu plus haut on trouve El Escondido, Dos Mosqueteros, Rivadavia, Peñón,
Mitre, en aboutissant avec le saut prodigieux Union qu'i jette ses eaux dans
la Gorge impressionnante du Diable depuis une hauteur proche aux 80 mètres en
formant des fumées rosée et vapeur d'eau parfois visibles depuis des points
éloignés à quelque 7 Km.
Dans le secteur Brésilien en plus de partager
le Saut Union, puisque celui-ci il passe la ligne de division des eaux, il
est important de souligner les sauts Benjamín Constant, Deodoro, Floriano et
Santa María.
Río Iguazú
Por Julio Nuñez. Fragmento del libro “Ivirareta, país de árboles”.
Cette
rivière forme la limite nord de Misiones, en la séparant du Brésil. Son nom
signifie de l'" Eau Grande " et il a été mis par les Indiens
guaraníes, admirés de l'immense table
d'eau qui se précipite, en formant les Catarates du même nom.

Les
naissantes de la rivière Iguazú sont dans les Montagnes Do Mar, à quelques
kilomètres de l'océan Atlantique et à une hauteur, plus ou moins de 900 mètres
au-dessus du niveau de la mer. Ses premières sources commencent près de la ville de Curitiba, capital de
l'État de Paraná, d'où provient le nom de Grande Rivière de Curitiba qu'ils lui
donnent le Brésil.
Le fleuve Iguazú a une
longueur approximative de 1.300 Km, en correspondant 1.205 exclusivement au
Brésil et 115 qui servent de frontière argentin-brésilienne ; étant coupé, l'iguazú à son affluent le fleuve San Antonio et terminant au Paraná. Dans son trajet dans des terres
brésiliennes il forme de nombreux sauts très pittoresques, mais de moindre
importance que les Catarates de l'Iguazú. Ce sont celles-ci, le Cayacanga, de
10 mètres de hauteur de chute, le saut Do Funil de quelque 12 mètres, le saut
de Passo ; le Santiago de grande hauteur et beauté, le saut Osorio, le Caxías
et les sauts Faraday.
Le
fleuve Iguazú débouche dans le fleuve Paraná avec un largeur qui varie entre les
250 et 400 mètres selon la hauteur du fleuve. Les eaux de tous les deux ne se
mélangent pas immédiatement et pendant longtemps on peut voir celles provenant d'Iguazú, claires,
limpides et verdâtres, en faisant des tourbillons entre celles du Paraná,
foncées et rougeâtres, qui terminent par absorber les premières. Dans le lieu
de la confluence des deux fleuves on arrive a voir les trois frontières
argentine, brésilienne et paraguayenne.
Comment se sont formées les Catarates de l’Iguazú
Récit d’ Antonio Margalot. De “Geografía de Misiones”.
La géologie régionale se
caractérise par la présence d'une série de filtrages basaltiques superposés.
" Filtrage " est le terme avec lequel les techniciens désignent une
effusion volcanique qui se disperse en état liquide sur la surface d'une zone
et donc, par refroidissement, est solidifiée originairement.
Dans la région se sont
produites plusieurs de ces filtrages (à Misiones ils ont détectés 11) , de manière tel que les plus
récentes étaient superposé aux précédentes comme " manteaux " successifs

Ces filtrages, bien qu'ils
aient des caractéristiques physiques et chimiques très semblables sont
différenciés par quelques éléments accessoires et par la manière dans laquelle
s'est produite la solidification. Conséquemment, le comportement d'elles
diffèrent aussi devant l'action érosive de l'eau. Cela signifie que celle-ci
altère et détruit avec plus grande rapidité la roche et la matériel constitutif
de certains filtrages
Comme nous voyons
immédiatement c’est un des facteurs qu'a permis la formation des Catarates de
l'Iguazú. L'autre a été la présence, dans la voie du fleuve, de ruptures. Avec
ce terme ils désignent les géologues l'effondrement relatif d'une formation
avec respect au reste (ou, réciproquement, un soulèvement relatif de ce reste
en ce qui concerne l'autre partie), selon une ligne plus ou moins droite.

Pour visualiser le phénomène imaginez un
terrain plat et horizontal. En produisant la rupture, commence une étape,
qui peut avoir depuis très peu de millimètres à plusieurs mètres, selon l'intensité
du phénomène qui a provoqué la rupture. La pente du fleuve, dans sa phase
juvénile, est assez prononcée et la présence de ces étapes (ruptures) fait que
dans de tels lieux l'eau saute et qu'elle ait, par l'impact, un effet érosif plus grand
que les tronçons non accidentés. Par conséquent on forme une dépression
immédiatement après la rupture.
Le fleuve Iguazú court, au
moins dans quelques tronçons, sur un filtrage basaltique très résistant à
l'action érosive de l'eau, épaisseur qui à son tour est affirmée sur un autre
filtrage dont la roche constitutive est sensiblement plus vulnérable à cette
action. Avec le cours du temps le liquide termine par forer la formation
supérieure et entame l'attaque de l'inférieur, celle qu'est détruite avec plus
grande rapidité, jusqu'à disparaître et enlever totalement sustentation à celle
d'en haut, qui commence à s'ecrouler progressivement.

Les
grands blocs qui peuvent être observés au pied de quelques sauts - spécialement
du côté argentin des Catarates ce sont les restes du filtrage supérieur. La
description précédente explique les espaces vides existants derrière le rideau
d'eau et qui servent de refuge à des oiseaux et amphibies. Comme le processus
de Pèrforation " en arrière " continue, pendant les prochains
millénaires les Catarates continueront à se déplacer, comme il font depuis très
longtemps.
Parc National d'Iguazu
Le Parc
National Iguazú, crée en 1934 par la Loi 12.103, possède à peu près 67.620
hectares qui ont été déclaré Patrimoine Naturel de l’Humanité en 1984 à cause
des ses beautés et à la grande diversité biologique de la forêt subtropical.
Ce
sanctuaire naturel situé à l’extrême NE de la République Argentine, avec pluies
et tempéartures (15° moyenne en hiver et 30° moyenne en été) fait un ambience
chargé d’humidité, presque sans vent à cause de la si luxuriante végétation.

Le fleuve
Iguazú a un parcours total de 1.320 km jusqu’à sont débouché dans le fleuve Paraná,
23 km dès Catarates. Encadré par des côtes basses a dans la plupart de son
parcours une largeur variable qui va de 500 jusqu’à 1.000 mètres. Dans le Parc
National, il s’élargie à 1.500 mètres et fléchi vers le sud, pour plus tard
reprendre vers le nord, en formant un large U, qui contient dans sont débouché,
l’abrupte dénivelés dans le terrain qui donne
lieu aux catarates : imposante chute d’eau.
Dans leur grande courbe, une prolifération de
cailloux, îlots et îles élargies fragmentent le fleuve en nombreux bras. En
arrivant au ravin, chacun d'eux donne lieu à un saut, dont l'ensemble constitue
le grand éventail qui sont les Catarates de l'Iguazú.
Le Parc loge un Patrimoine Naturel qui
inclut :
•
Une flore autochtone avec plus de 2000 espèces : fougères touffues, bromelias,
orchidées, palmiers et arbres gigantesques qui servent de support à une grande
variété de enredaderas trepadoras, qui fournissent de façon permanente des
fruits qui attirent des singes, coatíes, venados, tucanes, pour nommer
seulement quelques uns.
• 450
espèces d'oiseaux, celles qui s’exhibent
sans timidité dans les premières heures du matin et le soir, ils peuvent
être observé avec facilité tucanes, agaces, teros, brun foncé et les
arbalétriers incroyables, cette dernière espèce exclusions du secteur des
Catarates de l'Iguazú.
• 80 espèces
de mammifères, entre eux cinq variétés de félins parcourent craintifs
les clair-obscur de la forêt.
. Et innombrables insectes, entre autres une grande quantité de papillons de tous
les couleurs.

. Les innombrables cours
d’eau du secteur, sont gardés par des caïmans et garzas, qui sont nourrit par
des petits poissons.
L’importance de conservation du secteur réside dans le fait qu’en elle se
protège des espèces qui sont en danger d’extinction comme par exemple le
yaguareté (Pantera onca) , ocelote (Felis pardalis), la yacutinga (Aburria
jacuntinga) macuco (Tinamus solitarius) pour mentioner certaines d’elles qu’on
trouve encore dans le Parc National Iguazú les conditions pour sa survie.
Histoire :
MISIONES : CATARATES de
l'IGUAZÚ
En 1542, tandis qu'il
effectuait une traversée de l'Océan Atlantique jusqu'à Asunción del Paraguay,
Alvar Nuñez Cabeza de Vaca aperçu les
catarates surprenantes du fleuve Iguazú et
il les a baptisé comme
" Sauts de Santa María ", nom qu'avec le temps a été remplacé par sa
dénomination guaraní primitive " Iguazú ", I’eau, Iguazú : grand.

Dans cette époque la région
était habité par des indigènes de l'ethnie Mbyá-Guaraní, ceux qui autour de
1609 ont commencé à vivre le processus d’évangélisation joué par les prêtres
jésuites de la Compagnie de Jésus, ceux
qui ont développé dans la région une expérience unique en Amérique Latine : la
conformitée d'un système qui est arrivé
à disposer 30 peuples distribués dans les régions du Tapé et le Guayrá
(actuellement sud du Brésil et du Paraguay, toute la province argentine de
Misiones et une partie du nord de Corientes).
Par des différences
politiques et économiques avec la Couronne d'Espagne les jésuites ont été
expulsés de la région en 1768. La zone des Catarates est ainsi passée dans l'ombre de la mémoire jusqu'à juin de 1881 - peu
avant la fédéralisation de Misiones moment où la province de Corientes, qui
exerçait le pouvoir, vend 50 lieue carrés de terres sur les fleuves Paraná,
Iguazú et Urugua-í à Severo Fernandez et
à Ernesto Arnadey. Ceux-ci transfèrent leurs droits en octobre de cette même année
à Rafaël Gallino qui les transfère à
nouveau à Gregorio Lezama.

En décembre 1881, Misiones est séparée de Corientes et en
1882 assume le premier gouverneur Rudecindo Roche qui divise le territoire en 5
départements. Un de ses commandants, Francisco Cruz arrive jusqu'à la
confluence des fleuves Paraná et Iguazú
en transportant une commission scientifique allemande qui cherche des terres
pour coloniser. Cette expédition était payée par Ledesma (propriétaire des
terres d'Iguazú) et elle était dirigée par l'explorateur Carlos Bossetti. Entre
les expéditionnaires on trouvait aussi
Jordan Hummell, qu'années plus tard organiserait le premier voyage touristique
aux Catarates. Ainsi les catarates sont
« découvertes » de
nouveau et sont admirées à nouveau.
En 1888, Gregorio Lezama vend
les " terres de l'Iguazú " à Martín Erracaborde Cía.
Le 20 septembre 1895, le gouverneur Balestra divise la
province en 14 départements. Iguazú
commence à intégrer le département Frontera
avec Manuel Belgrano, Eldorado et une partie de San Pedro. Le 19 juillet
1897, on désigne juge de Paix de la naissante population d'Iguazú Alberto
Mugica. Jordan Hummell, accompagné des messieurs Nuñez et Gibaja avaient déjà
effectué alors une nouvelle incursion jusqu'aux Catarates de l'Iguazú, mais par
le côté Brésilien, puisque le côté Argentin la forêt était impénétrable. De ce
voyage ils ont porté au Gouvernement leur intérêt à promouvoir l'arrivée de touristes.
En principe de 1901, le gouverneur
Lanusse voyage à Buenos Aires pour intéresser à l’entreprise de navires
Mihanovich à la promotion touristique des Catarates.
En août 1901, arrive à Port
Iguazú la première excursion touristique aux catarates, entre les voyageurs
2taient Victoria Aguirre, qui devant l'échec de l'excursion par manque de
chemins, fait don de $3.000, qu'ajoutés à $5.000 apportés par Gibaja et Nuñez,
ils servent à ouvrir la route par terre entre Port Iguazú et les Catarates. Cette date, qui marque le début de l'activité touristique
d'Iguazú, a été revendiquée par cette Communauté comme sa date de fondation en
hommage à Victoria Aguirre, qui a été ensuite transformée en une chance
protecteur et promoteur de la croissance du tourisme et de la population.
En 1902 Carlos Thays a effectué le premier étude détaillée des Catarates
de l'Iguazú et a présenté un projet de création du Parc National qui se
limiterait des années plus tard. Le 3 septembre 1902, par initiative du Gouvernement de
Misiones on promulgue la « Loi
Olmedo » qui réserve pour l'État National la juridiction du Parc Iguazú.
En 1907. « Les terres de l'Iguazú » ont été vendues en vente aux
enchères, en restant la partie septentrionale entre les mains de Domingo
Arrayagaray et la méridional, propriété de Martín Errecaborde. à cette époque
l'entreprise minière Gibaja et Nuñez, construit le premier hôtel d'Iguazú.
En 1913 on installe la Commissariat de Police, Subprefectura et une
école primaire. En 1916 on crée le registre Civil de Port Aguirre - comme
onl’appelait déjà. En 1928 on crée l'Estafeta de Courriers et cette même année
la Nation achète les terres d'Arrayagaray à destination de Parc National et de
Zone Militaire.
Le 1ª de janvier 1935, le Gouvernement National par loi
12.103, dispose la création « du Parc National Iguazú » dans les
terres acquises en 1928. Le premier intendant du Parc a été Paulino Amarante.
En septembre 1941 on fixe les limites du Parc National et de la plante urbaine
de Port Aguirre.
Le 27 novembre 1943 on restitue le nom d'Iguazú au port
d'accès aux Catarates, en maintenant celui d'Aguirre à l’'accès sur le fleuve Iguazú située à un
kilomètre eaux plus haut de son embouchure au
Paraná.
En 1944, il opérait déjà le vieil aéroport de
terre. Jusqu'à 1948, l'acquisition de terres dans la plante urbaine était
interdite, et ils étaient seulement affirmés dans les terres, travailleurs et
employés de Parcs Nationaux et ses parents. Le 31 janvier 1948 Parcs Nationaux libère la vente de terres
urbaines en ouvrant les portes d'une croissance démographique explosive. Cette
même année commence à opérer ce qui est l’usine de Port Iguazú en fonctionnant
entre les 18 et 24 heures. De cette même époque date la construction des 7
quais différents de niveau dans le port.
Le 24 avril 1951 on remplace le nom d'Iguazú par
Eva Perón, et par le même décret il est approuvé la création de la Première
Commission de Promotion, en fixant sa juridiction, et en nommant ses membres

Ces désignations sont retombé à Balbino Brañas, Lucio
Francisco Queiroz, Julio Enrique Jerez,
Sergio Nelio Ortiz et Ricardo Moriones. Le 28 septembre 1955, le gouvernement
de facto restitue à la localité le nom de Port Iguazú.
Le 24 février
1978 il est déclaré à Port Iguazú commune de première catégorie. Jusqu'ici
l'histoire officielle. Derrière et dans le milieu il reste la lutte permanente
depuis les pionniers aux actuels habitants, pour croître et projeter au monde
un des principaux attraits touristiques de la planète.

Le long de toute votre visite par le Parc National Iguazú et
le secteur Catarates, le visiteur pourra percevoir l'influence marquée que la
culture Guaraní a laissée dans la région jusqu'à nos jours.
Les coutumes fascinantes et l'histoire de cette ethnie punie par la
conquête européenne restent encore dans cette région. Ses membres offrent leurs
artisanats à l'intérieur du parc dans leur condition de premiers occupants
de ce qu'ils appellent " Terre sans
mal ".
C’est que la forêt est pour le
Guaraní beaucoup plus que son habitat. C'est une atmosphère mythologique qui
lui fournit non seulement le nécessaire pour la vie terrestre mais aussi par
une armonie spéciale basée par l'équilibre de l'homme et de la nature.
Principalement contemplative, la religion Guaraní accepte l'existence
d'un seul Dieu : Tupá. Ils n'avaient pas d'idoles, ils croyaient dans
l'immortalité

de l'âme et dans les démons
nomades " Añaes ". Les divinités expliquaient les phénomènes de la
nature et de la vie. Les esprits malins qui peuplaient cette vaste région
guaraní seulement existaient pour punir celui qui dilapidait la forêt en
détruisant ses ressources naturelles.
Dans la majorité des cas appartenait à
l'association des esprits divins avec le Caari Porá, âme céleste qui était
transformée en sanglier pour poursuivre et attaquer aux chasseurs qui
cherchaient des richesses de la forêt sans nécessité.
Les premiers
ocupants de " La terre sans mal " :
Les Guaraníes représentaient un groupe éthnique semi -
agriculteur sédentaire, ceramiste, musiciens et bons marins, qui se sont
dispersés en bonne partie en Amérique du Sud.
Se caractérisaient par être des guerriers et par ses
coutumes riches et cérémonials, une des
plus intéressantes de l'Amérique Latine. Ses armes étaient le
macana , arc et la flèche,
qu'ils utilisaient pour la guerre et pour chasser. Ils pratiquaient la
poligamie et il n'y avait aucun type de contrat matrimonial. Ses logements
étaient des maisons très grandes appelées " malocas ", de manière
rectangulaire qui arrivaient à mesurer jusqu'à 50 mètres de longueur où elles
habitaient plus de 50 familles toujours sous les ordres d'un chef, en formant
de cette manière une grande famille.
Les misions Jésuites
En 1609, comme mécanisme de
domination et d’exploitation par les Espagnols, commença dans cette partie de
l'Amérique une des expériences d'évangélisation les plus intéressantes de la
région : les missions Jesuítico-Guaraníes. Des Jésuites de la Compagnie
deJésus sont arrivés à ces terres et ils ont pu former 30 peuples de Guaraníes dans lesquels on a
développé un système reductionnel inconnu pour l'époque. Ce système a protégé
les Indiens des " Bandeiras " esclavistes brésiliens mais en même
temps a préservé la langue, a construit la première presse d'Amérique Latine et
a produit un des phénomènes culturels les plus significatifs du lien européen –
américain.

Tout au
long de 150 années, ils ont fondé au total 30 peuples prospères distribués dans
les actuels pays de l'Argentine, le Brésil et du Paraguay. Avec une économie
basée spécialementsur la culture de la
terre, le bétail, les activités extractives et la manufactures commerçables
auxquelles obéissait à un système mixte de propriétés communautaires et
privées, le " tupambaé " (propriété de Dieu) et
l'" abambaé " (propriété des hommes), en connaissant en outre les
activités d'élevage, culture du maté, maïs, coton, entre autres.
La présence jésuite s’est fait remarquer
dans tous les ordres de la culture, en consolidant, exclusivement le style
barroque missionnaire qui a caractérisé l’architecutre, l’imagerie et l’art de
l’époque.
La légende des Catarates :
Il y a plusieurs années en arrière, le fleuve Iguazú était habitée par
un énorme serpent appelé Boi, était
coutume des guaraníes sacrifier une fois
par an une pucelle jolie, qui était lancé au fleuve en la livrant ainsi au
serpent.
Pour cette cérémonie on invitait à toutes les
tribus Guaraníes mêmes celles qui étaient plus éloignées. Un jour arrive un
jeune Cacique appelé Taroba, qui a connu à une pucelle jolie appelée Naipi déjà choisie pour être
sacrifiée, motif qui lui a révolutionné
contre les personnes de la tribu et l'essaye inutilement de convaincre qu'ils
ne la sacrifient pas.

Avec une grande vaillance
la kidnappé dans les veilles du sacrifice en échappant par le fleuve dans sa
petite embarcation. En s'informant de ceci Boi reste si furieux qu'en étant
plié il a divisé le cours du fleuve en formant les Catarates et a saisi Taroba
et Naipi.
Comme punition Boi les a transformés en arbres qui sont vus
aujourd'hui dans la partie supérieure des catarates avec la chevelure de la belle Naipi comme sauts d'eau. Après
cela il a été submergé dans la Gorge du Diable et veille jusqu'à aujourd'hui
que les amants jamais ne soit pas uni à nouveau... mais dans les jours de plein
soleil, l'arc arc-en-ciel dépasse le pouvoir du mal de Boi et il les unit à
nouveau.
Flore et Faune :
On trouve aussi des Ceibos, dont la fleur a été déclarée
fleur nationale d’Argentine.
La grande variété d'espèces animales et végétales font que la flore et la faune
soient, avec les sauts d'eau, les grandes protagonistes du parc. Au long du
parcours le visiteur sera surpris à chaque moment avec les oiseaux, mammifères,
fleurs et la végétation exubérante.

Dans le bord du fleuve Iguazú et dans les îles du delta qui
forme avant de se précipiter par les catarates, on développe plusieurs arbres
qui requièrent une grande humidité divers facteurs qui coïncident dans cet
emplacement : le curupay, le cupay, le laurier blanc, l'aguay et l'ingá.
Dans l'humidité environnementale extrême de la zone des
Catarates du fleuve Iguazú on développe quelques raretés, entre lesquelles on
souligne deux Communautés très spéciales, puisque c’est le seul lieu en
Argentine où se il trouve : la forêt de cupay, un arbre de feuilles caedizas
qui en poussant sont de couleur cuivreux, et les pâturages de Paspalum lilloi,
une graminée qui croît entre les pierres de la rivière.
Sans doute les oiseaux plus caractéristiques de Catarates de l’Iguazú sont les
martinets de cascade (symbole du Parc National Iguazú) qui traversent en
volant les colonnes d'eau des catarates, pour se poser sur la paroi rocheuse où
ils reposent et même ils font leur nid.
Dans
le secteur des passerelles il est fréquent de trouver des groupes de coatíes,
qui se sont retournés très confiants, et au grand tucán, une des cinq espèces
de tucanes présents dans le Parc. Dans les sentiers il est possible d'observer
une grande quantité et variété de papillons, beaucoup d'elles de tons jaunes
avec des taches et dessins noirs. On les voit n’importe où il y a une flaque
d'eau, car ils absorbent les sels
dissoutes en ces derniers.

Vers midi dans les parties ensoleillées des sentiers on
pourra observer les lézards du type Tropidurus, qui profitent de sa bonne adaptation
pour monter des troncs et des pierres pour être agilement monté aux passerelles
et aux escaliers. Le Parc loge des animaux sérieusement menacés d'extinction
comme le " tigre " ou yaguareté, qui a dans cette zone un de ses
derniers grands refuges en territoire argentin.
La flore arborescente du Parc National Iguazú a plus de 90 espèces. Certains de ces arbres sont spectaculaires quand ils fleurissent. Tel est
le cas du lapacho noir qu’à fin de
l'hiver et avant de jeter des feuilles, il est complètement couvert de fleurs
attrayantes ; du jaune lapacho et de l'ibirá pytá, celui-ci développent des
fleurs jaunes, et une espèce sylvatique de seibo, avec des fleurs de couleur
rouge-orange.
Dans quelques
secteurs de ce Parc National on développe une Communauté très spéciale : la
forêt palmier nain et bois rose. Ce dernier est un arbre gigantesque qui peut
dépasser les 40 mètres de hauteur et a un tronc droit jusqu'à 2 mètres de diamètre. À leur ombre,
et à celle d'autres grands arbres, croissent les palmiers nains, palmiers
gráciles dont les troncs terminent dans des produits alimentaires hautement
ambitionné cogollo, dont l'extraction cause le décès de la plante.
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